Pillage de l’économie algérienne


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jeudi 7 novembre 2019
par  Alger républicain

Débat sur le projet de loi hydrocarbures : des non-dits qui en disent long…

Un avant-projet de loi sur les hydrocarbures, élaboré en concertation avec les cinq plus grandes compagnies pétrolières internationales, et avec l’assistance technique des cabinets américains de conseil Curtis, Mallet-Prévost, Colt & Mosle LLP et Hartree Partners, a été adopté dimanche 13 octobre 2019 par le Conseil des ministres.

Par Abdellatif Rebah
Economiste

mardi 5 novembre 2019
par  Alger républicain

Vies détruites, drames individuels, gâchis économique, social, humain, le saccage du secteur industriel public

L’Algérie vient de perdre deux cadres de grande valeur qui ont, avec abnégation et dévouement, mis leur savoir et leurs compétences au service du développement et de l’épanouissement de l’Algérie et de son peuple. Deux patriotes humbles, honnêtes et engagés, deux brillants managers, à la tête de deux fleurons de l’industrie algérienne, l’un, Abdelhaq Bouhafs, aux commandes de Sonatrach, l’autre Messaoud Chettih à celles de Sider, dans la sidérurgie. Tous deux victimes emblématiques de la politique de démantèlement et de destruction qui a pris méthodiquement et implacablement pour cible, ces trente dernières années, tout ce que l’Algérie avait entrepris au lendemain de l’indépendance, pour se doter d’un système productif national moderne, solide et cohérent. C’est-à-dire, l’assise matérielle de la consolidation de l’indépendance nationale du pays et du progrès de son peuple.

Par Abdelatif Rebah, économiste

dimanche 11 juin 2017
par  Alger républicain

Le projet de 20 000 ha à El Bayadh ou l’arrivée de nouveaux colons dans le Sud du pays

Article publié dans la version papier du journal de Mai-Juin 2017

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Le projet d’El Bayadh avait fait l’objet d’une enquête documentée de Ferhat Aït-Ali dont les termes ont été portés à la connaissance de l’opinion publique. Rappelons les conclusions : preuves à l’appui (noms et adresses, sites internet, parcours des dirigeants Ted Ayash et Dale Didion..), [...] la société américaine (AICG) a été créée pour la circonstance, qu’elle ne possédait ni actifs financiers, ni expérience dans le domaine agricole, et – cause aggravante - que ses principales activités avaient plus à voir avec le négoce d’armement, le recyclage des vétérans de guerre et les services de renseignements américains.

Sid Ali

dimanche 2 avril 2017
par  Alger républicain

Situation économique et financière du pays : sombres perspectives pour les travailleurs

La chute des recettes pétrolières continue à aggraver les déséquilibres de la balance commerciale et de la balance des paiements. C’est le résultat de l’absence de sérieuses mesures gouvernementales pour diminuer l’importation de biens superflus consommés par les classes possédantes et certaines dépenses d’équipement induites par le train de vie des couches sociales aisées.
L’exportation des hydrocarbures n’a rapporté au pays en 2016 que 27 milliards de dollars. A comparer aux 70 milliards de 2012 ou aux 78 milliards de 2008. Entre 2014 et 2016 les recettes tirées de l’exportation des hydrocarbures - qui représente plus de 95% du volume total des exportations - sont tombées de 58 à 27 milliards de dollars,

samedi 1er avril 2017
par  Alger républicain

Fraude fiscale et sociale : des gens du pouvoir découvrent soudainement la plaie du secteur « informel » (2)

Ces derniers jours des gens du régime ont « découvert » l’immensité des pertes fiscales occasionnées par le développement de « l’économie informelle ». La dégradation continue des recettes en devises du pays semble être à l’origine de leur intérêt soudain pour ce secteur qui prospère grâce aux conditions économiques créées par les dépenses publiques mais qui ne rapporte pas un centime aux caisses de l’Etat ou à la sécurité sociale.

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Ils font semblant d’être surpris par l’étendue de la fraude contre laquelle l’Etat n’a pris à ce jour aucune mesure pour que ces gisements de recettes fiscales participent à une augmentation substantielle de ses ressources financières. Et pour cause : les liens souterrains tissés entre les patrons de l’informel et des responsables de l’Etat, ceci expliquant cela.

Rédaction nationale
01.04.17

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