Il était prévisible que les directives surprenantes annoncées mardi dernier par Gaïd Salah contre les porteurs du drapeau amazigh, allaient provoquer des heurts avec la police.
Vendredi 21, des policiers en uniforme ou en civil se sont jetés sur les manifestants pour leur arracher l’emblème amazigh. Ils ont procédé à l’interpellation de dizaines d’entre eux qui tentaient comme à leur habitude de se rassembler tôt le matin devant la Grande-Poste. On parle de centaines d’interpellations à (…)
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Actualité politique nationale
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Le régime persiste dans ses manœuvres de diversion pour tenter de diviser le mouvement populaire
25 juin 2019, par Alger republicain -
Arrestation des symboles de la corruption et de l’arbitraire : entre l’allégresse et le devoir de vigilance politique
16 juin 2019, par Alger republicainLes événements se sont accélérés ces derniers jours. Deux anciens chefs de gouvernement, Ouyahia et Sellal, un ancien ministre, Benyounès, Tahkout l’oligarque sorti du néant, choyé par le pouvoir, sont derrière les barreaux à la prison d’El Harrache où ils ont rejoint les magnats Kouninef, Haddad et Rebrab. Des dizaines de ministres, de hauts fonctionnaires de l’Etat, vont devoir s’expliquer les jours prochains devant les juges d’instruction sur les avantages indûment accordés à des magnats (…)
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Immobilisation des bus Tahkout de transport des étudiants : des conducteurs dénoncent les manœuvres des responsables du groupe
11 juin 2019, par Alger republicainLes sbires du nabab Tahkout créé de toutes pièces par le régime veulent faire accroire que les travailleurs de son entreprise sont solidaires de leur patron jeté en prison dimanche soir dans le cadre du démantèlement des réseaux de corruption liés au groupe politiquement déchu de Bouteflika.
Mais les travailleurs du groupe protestent contre cette opération d’intoxication. Extrait d’un article du Quotidien d’Oran du 11 juin 2019 :
« Selon des images ayant circulé hier sur Facebook, à (…) -
Fekhar et le M’zab : stratégie de la tension
1er juin 2019, par Alger republicainRéédition de l’article publié le 14/09/2017
Pour contribuer à dissiper les confusions et l’émotion provoquées par la mort de Fekhar, clarifier les enjeux cachés derrière l’instrumentalisation de sa mort, voici ce qu’écrivait Alger républicain dans un billet publié le 14 septembre 2017 sur son site web (http://www.alger-republicain.com/Les-atteintes-par-le-pouvoir-a-la.html). Ce billet nous paraît toujours actuel dans le contexte des luttes populaires contre le régime
AR
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Décès en prison de de Kamel-Eddine Fekhar : à quel plan sa mise à mort a-t-elle obéi ?
31 mai 2019, par Alger republicainPour son avocat Salah Dabouz, elle « était programmée ». La mort, ce 28 mai, au CHU Frantz Fanon de Blida, de Kamel-Eddine Fekhar, suscite l’émotion et l’indignation au sein de larges couches de la population engagées depuis le 22 février dans des manifestations ininterrompues pour exiger le départ des hommes du régime.
Présenté par les journaux comme un militant des « Droits de l’Homme » de Ghardaïa dans le M’zab, Fekhar s’est éteint des suites de la grève de la faim qu’il avait entamée pour protester contre son arrestation le 31 mars dernier, puis sa mise en « détention préventive » pour « incitation à la haine » et « atteinte à la sûreté de l’Etat ».
RN
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1er mai 2019 : journée internationale de lutte du prolétariat mondial contre l’exploitation capitaliste*
1er mai 2019, par Alger republicainTravailleurs, organisez-vous pour démanteler ce régime mafieux qui vous opprime et enrichit les plus riches !
Pour la première fois depuis 1992, date de l’instauration de l’état d’urgence, les travailleurs algériens pourront ce 1er mai 2019, comme leurs camarades du monde entier, manifester librement dans la rue contre l’exploitation et l’oppression capitalistes. Cela est le résultat du mouvement populaire entamé le 22 février contre le régime corrompu et le 5ème mandat de Bouteflika qui a (…) -
Enjeux d’un 4ème vendredi de marche contre le régime de Bouteflika
15 mars 2019, par Alger republicainLe mouvement populaire contre le pouvoir de Bouteflika va connaître aujourd’hui un élan encore plus grand avec l’afflux prévisible de centaines de milliers, voire de millions de citoyens dans les rues de la capitale, dans toutes les villes jusqu’au plus petit village du pays.
Loin de calmer la colère de la jeunesse, l’annonce de Bouteflika de ne pas briguer un 5ème mandat mais de prolonger son 4ème en piétinant la Constitution dans le prétendu but d’organiser une transition politique avant de quitter le fauteuil présidentielZoheir Bessa
15.03.19 -
Bouteflika renonce au 5ème mandat : Le mouvement populaire arrache une première victoire mais le combat continue
12 mars 2019, par Alger républicain.
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8 mars 2019 journée internationale de luttes des femmes contre les inégalités, l’exploitation, l’oppression, le despotisme et les guerres
8 mars 2019, par Alger republicainCe 8 mars 2019 restera gravé dans l’histoire des luttes politiques et économiques les plus marquantes de l’Algérie.
Il coïncide avec les gigantesques manifestations populaires contre le 5ème mandat de Bouteflika. Le chef de l’Etat diminué depuis 2014 est moribond, incapable de se mouvoir, de s’exprimer, de se montrer. Mais il est utilisé avec son consentement pour perpétuer les intérêts d’une infime minorité qui s’est enrichie par le vol, le pillage des richesses du pays et la sueur de la classe ouvrière et des travailleurs.
AR
08 mars 2019 -
Face aux manifestations populaires contre un 5ème mandat de Bouteflika, le pouvoir manigance un nouveau plan
4 mars 2019, par Alger republicainAu mépris des immenses marches populaires de protestations contre le 5ème mandat de Bouteflika, marches qui ont rassemblé vendredi 1er mars des centaines de milliers de citoyens dans la capitale et dans des dizaines d’autres villes, le pouvoir vient d’annoncer que le chef de l’Etat impotent et muet a décidé de se représenter à l’élection présidentielle du 18 avril.
Ceux qui parlent en son nom et avec son assentiment demandent de le réélire pour lui permettre d’organiser une transition (…)