Le Parti communiste de Grèce (KKE) condamne la nouvelle provocation du gouvernement colombien, qui a arrêté le 4 janvier l’universitaire Fracisco Xavier Toloza, cadre et responsable des relations internationales du mouvement politique et social "Marcha Patriotica.
Son arrestation montre clairement les intentions du gouvernement colombien à poursuivre la politique de criminalisation et de persécution de toute voix qui résiste et lutte sur la base des intérêts populaires.
« Une jeunesse unie contre l’impérialisme, pour un monde de paix, de solidarité, de transformation sociale ! »
Les 8 000 délégués, venant de 88 pays, qui se sont donné rendez-vous à Quito sous le mot d’ordre : « jeunesse unie contre l’impérialisme pour un monde de paix, de solidarité et de transformation sociale », déclarent la chose suivante :
Mais la réalité nous montre aussi la force des processus en cours sur notre continent. L’Amérique latine a mûri. Certains gouvernements progressistes sont à la recherche d’une équité sociale. Il y a un soutien social et populaire, des politiques actives qui ont prouvé leur efficacité.
La force de ces processus réside dans les avancées réalisées par presque tous les gouvernements qui, chacun dans leurs nuances, ont opéré un virage à gauche. Autrement dit, dans la réduction de la pauvreté, des écarts sociaux et économiques, dans les progrès obtenus dans le développement des capacités humaines et productives, des progrès valorisés par nos sociétés.
Le candidat de la droite vénézuélienne refuse de reconnaitre sa défaite lors des élections présidentielles du 14 avril 2013, malgré la transparence des scrutins reconnue par les observateurs internationaux. Au contraire, il incite ses partisans à « exprimer leur colère ». Le bilan est lourd : au moins 7 morts et 61 blessés.
A Paris, l’ambassade du Venezuela appelle à se rassembler à 18 heures, vendredi 19 avril, devant la statue de Simon Bolivar (entre le cours de la Reine et le Pont Alexandre III dans le 8e arrondissement, métro Invalides ou Champs Elysées Clémenceau). La révolution bolivarienne du Venezuela est en danger. Les hordes fascistes de Caprilès mettent le pays à feu et à sang. La "dissidence" cubaine les encourage
J’ai fait la connaissance d’Hugo Chavez il y a tout juste 18 ans. Il avait accepté une invitation à Cuba. Il m’a dit qu’il souhaitait me rencontrer. J’étais loin de m’imaginer que ces militaires taxés de putschistes par les agences de presse, qui ont semé pendant des années leurs idées avec tant de discrétion, étaient un groupe sélect de révolutionnaires bolivariens.
Le gouvernement colombien développe une nouvelle image de son pays afin d’attirer massivement les capitaux étrangers tandis que l’extermination des individus jugés indésirables se perpétue dans la capitale.